LA SORTIE DU JOUR ... (4)

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Bien évidemment, il est impossible d'imaginer un show bike d'importance à NYC en l'absence des gars de Brooklyn d'INDIAN LARRY.

Sur le stand (qui est un des rares à avoir fait un effort minimaliste de déco - avec les autres grandes marques présentes) des stickers tous plus sympas les uns que les autres, un monde dingue et des brélons de rêve (que je n'aime pas du tout : respect pour le travail mais trop proche du Frisco style que je n'ai jamais pu blairer). Vas voir la production ici : http://www.indianlarry.com/motorcycles. 8 bécanes exposées dont le fameux Sportster 2008 customisé dénommé Moving On :

Ainsi que pour la première fois le White Devil, achevé par l'atelier en novembre dernier :

Les peintures sont exceptionnelles et les détails réellement soignés. Sur les motorisations, pas de commentaire, c'est du S&S, rien que du bon. J'y vais de mon reproche d'Iron Butter prétentieux : je ne suis pas persuadé que passé les 50km sur ce genre de canassons tu en fasses beaucoup plus. Désolé (je vais encore me faire des potes là) mais ce genre de brélon c'est que de la frime pour mecs qui se la pète et s'achètent un accessoire de mode pour faire le wild biker le samedi soir à la sortie du Macumba. Achètes toi un peigne en corne de bouc frangin, ça coûte moins cher et c'est plus tendance ! Tu as raison je n'arrive pas à décoller de mes basiques moi : une moto doit rester une moto et surtout elle doit pouvoir t'emmener loin en faisant que ta colonne reste vertébrale ... Mais bon, respect pour le travail (pi visiblement, vu le succès du bouclar, i' doit i' avoir un sérieux paquet de mecs qui ne partagent pas du tout, du tout, du tout mon avis ... et c'est très bien ainsi !). L'activité a survécu à la disparition du boss Indian Larry himlself en 2004, c'est aujourd'hui une vraie marque qui est gérée comme telle avec une reconnaissance internationale. C'est Bobby SEEGER Jr. le propriétaire d'INDIAN LARRY MOTORCYCLE. Il a 42 ans et lui aussi il est très abordable. Tellement que moi j'en ai oublé de faire LA photo avec lui (la rage !). Pendant le salon il a pas mal fait l'andouille (ici avec David Uhl) :

En Janvier le magazine CYCLE SOURCE l'a élu homme de l'année et dans la petite interview qu'il y donne on découvre qu'il est fan de Black Sabbath et de Pantera (il me plait de plus ne plus ce gonz'), qu'il mange des Pasta Fagiole (me demandes pas, je ne sais pas non plus ce que sait), que s'il n'était pas dans le business moto il serait dans la fabrication de ...café, qu'il vivrait en Italie à Ravello (où il s'est marrié et où la nourriture est exceptionnelle) s'il n'était pas à NYC, que son film préféré est The Godfather (Le Parrain), que de toutes les personnes qu'il a rencontré c'est son fils le plus intéressant, que s'il pouvait rencontrer dieu il lui demanderait "Why ?" (mais qu'il est heureux quelquesoit la personne rencontrée), ... On lui doit, en plus de ses incroyables productions, un évènement annuel ou la branchitude biker new-yorkaise se bouscule chaque année : la BLOCK PARTY (qui entre dans sa 10ème année). Jettes un oeil ici : http://vimeo.com/51237817.

Lui et sa femme Elisa ont la réputation de vivre totalement dans la comunauté biker et de lui ouvrir les portes de leur maison et leur atelier. Ils sont aimés car toujours accueillants alors que la vie leur a joué de sales tours ces dernières années. Ils sont part of the culture comme disent les américains. Pas de faux semblant, on ne simule pas, on est dedans ... C'est pour toutes ces raisons que les lecteur de Cycle Source l'ont élu homme de l'année 2012. Et moi la truffe de l'année, j'ai pô une seule photo avec lui ... snif ! FTW FOR EVER !!!!! La suite bientôt ... La bise, L'Hervé (http://blog.hdcollectibles.fr)

Communiqué de presse de www.bikers-globe.com Bikers-globe.com, dédié à la "biker culture", au monde des Harley et autres custom bikes, édite le premier livre de l'un de ses membres sur la Daytona Bike Week intitulé "Ma Daytona Bike Week à moi !", par Hervé REBOLLO. Hervé REBOLLO, biker passionné, s'attache à nous raconter LA bike week hors des sentiers battus, celle méconnue du grand public. Il nous propose ainsi un véritable carnet de voyage illustré de près de 400 photos et de très nombreux commentaires dont il revendique totalement la subjectivité. Tout débute avec l'Équipée sauvage... Au milieu des années 70, alors qu'il n'a pas 10 ans, Hervé visionne, par hasard à la télévision, le film "L'Équipée sauvage", avec Lee Marvin et Marlon Brando. Les acteurs, leur attitude, leurs vêtements et surtout leurs incroyables motocyclettes, vont littéralement émerveiller le petit garçon. Jamais il n'avait vu pareille chose ici, en son Berry natal. D'ailleurs, le lendemain, on ne parle plus que de ça dans la cours de récré. Le gamin est irrévocablement conquis. Des centaines de milliers de kilomètre parcours... Cette conquête le mènera à l'acquisition de sa première Electra Glide 1340 à la fin des années 80. Aujourd'hui, 22 Harley-Davidson plus tard, Hervé détient plusieurs records d'endurance sur route avec l'Iron Butt Association, écrit également tous les mois pour le New-York Rider Magazine (il a même déjà été publié en France dans Freeway). Il est aussi à la tête de l'une des collections les plus importantes d'Europe de figurines et modèles réduits de bikers en Harley/Indian. Il parcourt sans cesse les routes de France, d'Europe et d'ailleurs sur sa moto. La Daytona Bike Week était donc l'un des événements incontournables qu'Hervé se devait de vivre. "Ma Daytona Bike Week à moi ! Un voyage au-delà du reportage magazine", parcourt en une cinquantaine de courts chapitres la Daytona Bike Week de fond en comble et s'attache surtout à raconter cette Week méconnue du grand public, celle dont on ne parle pas ou peu dans les magazines. Plus qu'un carnet de voyage, ce livre est aussi un véritable guide pratique des coulisses de cet événement. Il s'adresse à tous ceux qui rêvent de se rendre à Daytona pour participer à cette Bike Week devenue mythique mais aussi à ceux qui la connaissent déjà, qui retrouveront ici de bons souvenirs et découvriront très certainement nombre d'éléments qui auraient pu leur échapper. Prix du livre: "Ma Daytona Bike Week à moi ! Un voyage au-delà du reportage magazine" Disponible en version papier de 137 pages couleur, dos carré collé à couverture souple, format comics 16,84 x 26,04 cm au prix de 33,05 euros sur: http://tinyurl.com/ma-daytona-bike-week-a-moi Également disponible en version PDF de 109 pages couleur, fichier de 390 Mo au prix de 16,49 euros sur: http://tinyurl.com/Ma-Daytona-Bike-Week-PDF Une vidéo de présentation est visible à l'adresse suivante: http://tinyurl.com/Video-Ma-Daytona-Bike-Week Une version e-pub et une version Deluxe sont en cours d'élaboration. Des visuels en haute et basse définition sont téléchargeables à l'adresse suivante: http://www.bikers-globe.com/_Pub/DAYTONA.zip Contacts: Hervé REBOLLO dbw2012@free.fr 06 20 69 02 39