LA SORTIE DU JOUR ... (This is the end)

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Et voilà copain, c'est fini ...

Allez, on se la joue avec MOLLY HATCHET, One last ride, le titre approprié pour terminer en beauté rock cette chronique : http://www.youtube.com/watch?v=xZbAY1kqq00 (surtout ne rates pas le riff guitare après les 4 premières minutes). Bon, mais vu que tu as un petit côté babos (si, si, ne nie pas), tu peux aussi prendre la porte et allez te faire The End avec les DOORS : http://www.youtube.com/watch?v=JSUIQgEVDM4 (la version longue). J'espère que tu y as pris plaisir, c'était son seul objectif. En tous cas, moi j'ai bien aimé te narrer la chose mon loupiot. A NEW-YORK (NewYork City / NYC, cet acronyme étant essentiellement utilisé pour ne pas confondre la ville avec l'Etat de New-York) on voit toujours quelque-chose d'intéressant et l'on fait des rencontres ... En tant que motard, pour être interpelé, tu l'es ... notamment par le revêtement des rues et leurs fameuses plaques de métal. Tu connais ? T'es au courant de la façon dont la mairie gère les nids de poule ici ? Avant même de penser aux risques que représentent ces mini-patinoires lorsqu'elles sont mouillées elles sont d'abord source d'une nuisance sonore incroyable. Lorsque qu'un poids lourd passe dessus tu as parfois l'impression qu'une bombe explose, c'est assez indescriptible, il faut l'entendre pour le croire. On appelle ça ici des Street plates ... elles sont nombreuses et personne ne sait vraiment si elle sont légales (notamment depuis que le Department of Transportation - DOT a reconnu dans plusieurs rapports qu'elles n'étaient pas antidérapantes ...).

Tu trouves tout un tas de sites internet et autres blogs d'associations en lutte contre cet état de fait.

Là, tu constates la puissance (l'arrogance ?) de la mairie de NYC qui, aux pays qui a inventé cette race d'avocats capables d'obtenir des millions de dollars de dédomagement pour n'importe quel accidenté de la route, ne fait rien pour améliorer la situation. On imagine la batterie de lawyers qui doivent défendre les intérêts de la ville ... Et malgré cela je te confirme que j'ai vu de nombreux motards rouler (étonnament vite dans Manhattan) comme des fous sur ces plaques. NO FEAR N' FTW !!!. Sinon la ville est toujours aussi étonnante / fascinante, en particulier sous le soleil ;

l'art déco est toujours présent dans les vieux hôtels des années trente au charme vieillot ;

la mode du tatouage et du piercing loin de se tarir est en plein essort ;

Atlas fait toujours de la muscu sur la 5ème ;

le biker de 110kg ne porte ses couleurs qu'au seul guidon de sa moto poussette (il doit les enlever lorsqu'il est en voiture) ;

Les rouges et blancs ont toujours des slogans aussi forts ;

Les tee shirts célèbrent partout nos motocyclettes ;

Les artistes sont nationalistes sans être d'Etat ;

Dieu est motard ;

Le métal est toujours flake ;

In dian we trust (for ever) ;

Les femmes sont toujours aussi bavardes :

Les japonaises de plus en plus américaines ;

Et les allemandes maltraitées ;

Les inconnus sont nombreux ;

Et les travestis partout dans le Bronx ;

Les acronymes omniprésents (et celui-ci mon coco, si tu trouves ce qu'il signifie, sans aller chercher sur le net, tu me payes une CAISSE de bière. Allez, je t'aide : tous les américains qui voient ce sticker sur mon casque à Paris éclatent de rire et me balancent un doigt en me saluant ces enfoirés !!!!! Mdr !!!!) ;

Les filles sont belles et les motos punk ;

A Brooklyn la moto reste un sujet sérieux et les bouclards le font savoir sur des stickers significatifs ;

GROUND ZERO expose des reliques intéressantes (je te prépare bientôt un article sur cette moto et son histoire, sur le pourquoi de sa présence à Ground Zero);

Madison Square Garden n'est pas carré mais rond ;

Le policeman capable de t'arrêter avec une violence physique inimaginable ici en France pour un simple problème de stationnement sur la 32ème, toujours aussi sympa, reste très abordable malgré tout ... Thanks officer!

Et à la fin nous sommes bien obligés d'admettre que aimerions tous être

That's America !!!!! Bon, c'est pas tout ça mais il est temps de remettre les pneumatiques sur la route ... ça tombe bien, c'est reparti ce week-end prochain. Pourvu qu'il pleuve !! See ya soon on the road (who Knows ?). This is the end La bise, L'Hervé (http://blog.hdcollectibles.fr)

Communiqué de presse de www.bikers-globe.com Bikers-globe.com, dédié à la "biker culture", au monde des Harley et autres custom bikes, édite le premier livre de l'un de ses membres sur la Daytona Bike Week intitulé "Ma Daytona Bike Week à moi !", par Hervé REBOLLO. Hervé REBOLLO, biker passionné, s'attache à nous raconter LA bike week hors des sentiers battus, celle méconnue du grand public. Il nous propose ainsi un véritable carnet de voyage illustré de près de 400 photos et de très nombreux commentaires dont il revendique totalement la subjectivité. Tout débute avec l'Équipée sauvage... Au milieu des années 70, alors qu'il n'a pas 10 ans, Hervé visionne, par hasard à la télévision, le film "L'Équipée sauvage", avec Lee Marvin et Marlon Brando. Les acteurs, leur attitude, leurs vêtements et surtout leurs incroyables motocyclettes, vont littéralement émerveiller le petit garçon. Jamais il n'avait vu pareille chose ici, en son Berry natal. D'ailleurs, le lendemain, on ne parle plus que de ça dans la cours de récré. Le gamin est irrévocablement conquis. Des centaines de milliers de kilomètre parcours... Cette conquête le mènera à l'acquisition de sa première Electra Glide 1340 à la fin des années 80. Aujourd'hui, 22 Harley-Davidson plus tard, Hervé détient plusieurs records d'endurance sur route avec l'Iron Butt Association, écrit également tous les mois pour le New-York Rider Magazine (il a même déjà été publié en France dans Freeway). Il est aussi à la tête de l'une des collections les plus importantes d'Europe de figurines et modèles réduits de bikers en Harley/Indian. Il parcourt sans cesse les routes de France, d'Europe et d'ailleurs sur sa moto. La Daytona Bike Week était donc l'un des événements incontournables qu'Hervé se devait de vivre. "Ma Daytona Bike Week à moi ! Un voyage au-delà du reportage magazine", parcourt en une cinquantaine de courts chapitres la Daytona Bike Week de fond en comble et s'attache surtout à raconter cette Week méconnue du grand public, celle dont on ne parle pas ou peu dans les magazines. Plus qu'un carnet de voyage, ce livre est aussi un véritable guide pratique des coulisses de cet événement. Il s'adresse à tous ceux qui rêvent de se rendre à Daytona pour participer à cette Bike Week devenue mythique mais aussi à ceux qui la connaissent déjà, qui retrouveront ici de bons souvenirs et découvriront très certainement nombre d'éléments qui auraient pu leur échapper. Prix du livre: "Ma Daytona Bike Week à moi ! Un voyage au-delà du reportage magazine" Disponible en version papier de 137 pages couleur, dos carré collé à couverture souple, format comics 16,84 x 26,04 cm au prix de 33,05 euros sur: http://tinyurl.com/ma-daytona-bike-week-a-moi Également disponible en version PDF de 109 pages couleur, fichier de 390 Mo au prix de 16,49 euros sur: http://tinyurl.com/Ma-Daytona-Bike-Week-PDF Une vidéo de présentation est visible à l'adresse suivante: http://tinyurl.com/Video-Ma-Daytona-Bike-Week Une version e-pub et une version Deluxe sont en cours d'élaboration. Des visuels en haute et basse définition sont téléchargeables à l'adresse suivante: http://www.bikers-globe.com/_Pub/DAYTONA.zip Contacts: Hervé REBOLLO dbw2012@free.fr 06 20 69 02 39